ALKING Maurin
je présente ma candidature car votre alliance me parais interesser par la vie de la ville et qu'elle m'interesse tous simplement
Maurin
(t'en qu'a faire apeller moi alking)
[RP]Dame Diamanda de retour d'inspection de ses ateliers et apperçu une jeune fille esseulée sur le bord du chemin, elle tira alors sur la bride de son cheval noir pour s'arrêter à hauteur de la demoiselle.
Du haut de sa monture d'ébène :
- Ôla citoyenne, que faites vous par ici, vous êtes bien loin de la ville
La jeune fille intimidée par l'allure de Dame Diamanda :
- Eh bien... à vrai dire... je cherchais à rejoindre un groupe de personnes assez sympa pour me joindre à eux
- te joindre à La Table Ronde!? toi? une simple citoyenne... Diamanda se retenu d'éclater de rire, de peur d'effrayer la citoyenne, bon admettons que tu sois sérieuse...
- mais je suis très sérieuse Madame
- bon que sais-tu faire qui pourrait éventuellement aider La Table Ronde?
- eh bien... euuuuh... je fais de superbe bro-broderie déco-coratives ainsi que de chaudes chaussettes pour l'hiver
- des chaussettes dis-tu? Diamanda regarda alors ses pieds dans les étriers mouais, j'ai du mal à saisir dans quelle mesure cela nous aiderait mais pourquoi pas, et quoi d'autre?
- eh bien euuuuh... je fais aussi de supers blagues
- en effet, elle est bien bonne d'un air sérieux]/i], de plus, je remarque que tu as du mal à t'exprimer, ton niveau de rhétorique laisse vraiment à désirer, de plus, je veux bien croire que tu fais de très belles chaussettes c'est bien ça? mais pas encore assez belles pour que te faire connaître, tu as encore un long chemin afin de te faire une réputation, écoutes moi petite [i]sur un ton hautain, si l'on devait t'accepter dans l'enceinte de ce château, à part comme bonne à tout faire, je ne vois pas ce que l'on pourrait te confier, tu vas donc retourner en chez toi en ville, et améliorer tes capacités, histoire de te faire un nom et une réputation, étudier longuement pour améliorer ta façon de parler, et par pitié changer de vêtements, on dirait que tu sors de... je n'ose même pas le dire ni l'imaginer... ensuite, lorsque tu te sentiras capable de te tenir sans frétiller en notre présence, tu reviendra faire ta demande